La Belle Cordière, une trainée aux milles mots ?

Aujourd’hui je vous propose un article un peu particulier. Alors que j’errais comme une âme en peine sur Gallica le soir du 14 février (ne me jugez pas) je suis tombée sur une série de poèmes avec plein d’amour et un peu de sexe dedans. J’avais mis les deux yeux dans la vie de Louise Labé. C’est beau, c’est bien fait, j’ai eu envie de partager.  Et puis, en fouillant un petit peu plus, j’ai découvert un ouvrage sur la vie et les mœurs de la poétesse. J’ai décidé d’utiliser les deux pour vous la présenter.

Louise Labé, Louize L’abbé, Loyze Labé. On ne sait pas trop, on le trouve écrit sous toutes ces formes, et d’autres encore. Nous pouvons encore l’appeler la Belle Cordière, comme il était d’usage au XVIème siècle. Revenons ensemble sur son histoire:

L’éducation de Louise Labé

Le père de Louise Labé, Pierre Charly, est cordelier, il travaille le lin, la soie, et le chanvre. Et il a plein d’argent aussi. C’est pratique pour donner à sa fille une éducation digne des plus grands. Louise peut apprendre la musique, les langues Continuer la lecture

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Le baiser à la Capucine et autres bisous

A partir de la fin du XVIIIème siècle et jusqu’au milieu voire fin du XIXème siècle, les jeunes amoureux des milieux aisés ne se bécotaient pas sur les bancs publics. Bien au contraire. Pas encore mariés, ni même fiancés, les … Continuer la lecture 

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