A la réflexion , il y a un souci avec la maladie qu’elle aurait eue et celle dont elle est morte. Dans le texte (blog historique très agréable à lire et très instructif), on dit qu’elle avait le visage marqué de traces de vérole. C’est-à-dire de cicatrices de la variole, tres fréquente à l’epoque et grande pourvoyeuse de cadavres. Mais on dit aussi plusloin qu’elle est morte de la petite vérole (qui est aussi la variole) deux ans après. Problème : on n’attrape pas deux fois la variole ; si on en réchappe une fois on acquiert l’immunité.
A l’époque, généralement, on distinguait la petite vérole (= variole) de la grande vérole (= syphilis). Il ne s’agissait probablement pas de la syphilis, qu’on ne guérissait pas à l’époque et qui de toute façon ne laissait pas de traces sur le visage comme le fait la variole.
….Tres jolie, même ! Les cicatrices de la variole sans doute n’ont pas été reproduites sur le tableau.
A la réflexion , il y a un souci avec la maladie qu’elle aurait eue et celle dont elle est morte. Dans le texte (blog historique très agréable à lire et très instructif), on dit qu’elle avait le visage marqué de traces de vérole. C’est-à-dire de cicatrices de la variole, tres fréquente à l’epoque et grande pourvoyeuse de cadavres. Mais on dit aussi plusloin qu’elle est morte de la petite vérole (qui est aussi la variole) deux ans après. Problème : on n’attrape pas deux fois la variole ; si on en réchappe une fois on acquiert l’immunité.
A l’époque, généralement, on distinguait la petite vérole (= variole) de la grande vérole (= syphilis). Il ne s’agissait probablement pas de la syphilis, qu’on ne guérissait pas à l’époque et qui de toute façon ne laissait pas de traces sur le visage comme le fait la variole.